
Face à l'accroissement du nombre de chocs toxiques pendant les règles, des chercheurs lyonnais avaient collecté un nombre important de tampons pour étudier la croissance de la bactérie responsable. Résultats : aucun dispositif vaginal ne favorise sa production. Le défaut d'information des utilisatrices est lui en cause.
via Franceinfo – Santé (http://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/chocs-toxiques-la-cup-en-premiere-ligne_2268797.html#xtor=RSS-3-[sante])
